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Performance & récupération

Performance & récupération

Aider au mieux votre cheval

Votre cheval manque de résistance à l’effort ou à du mal à récupérer? Il est raide, courbaturé les lendemains de concours? Bleu-Roy vous aide à comprendre pourquoi et comment l’aider pour qu’il se sente mieux dans son corps.

Le début de la saison est là. Vous avez sans doute déjà vérifié votre matériel pour partir au concours, graissé vos cuirs, ciré vos bottes. Vous avez travaillé votre cheval tout l’hiver pour préparer les échéances que vous vous êtes fixé cette année. Vous êtes prêts

Savez-vous qu’il est aussi important de complémenter l’alimentation de votre cheval pour qu’il aborde plus facilement les efforts que lui demanderont les compétitions et le travail soutenu de cette période de concours répétés?
 
Le cheval de compétition est un véritable athlète. Pour réaliser une performance sportive, chaque détail compte. En plus d’un entrainement spécifique et d’une alimentation adaptée, il est utile de l’aider avec des compléments alimentaires. L’appareil locomoteur du cheval de sport est très sollicité: muscles, ligaments, articulations, tendons, sabots. Ne rien laisser au hasard permet de limiter les risques de blessures et d’améliorer les résultats. A l’approche du début de saison, Bleu-Roy vous parle des muscles de votre cheval, acteurs de base de sa résistance à l’effort et de sa récupération.

Développement musculaire, résistance à l’effort, récupération

Trois termes fréquemment employés dans le jargon du cavalier de compétition. Et à juste titre puisqu’ils sont les trois piliers majeurs de la performance sportive. Mais au fond, sait-on vraiment ce que cela signifie?Pour tout comprendre, nous n’échapperons pas à un petit cours de science…Qui dit compétition, dit effort. Qui dit effort, dit muscles. Ils sont, comme chez l’humain, responsables de la locomotion, de la puissance et du maintien de l’effort.

On rencontre deux types de fibres musculaires:

Les fibres de type I: elles sont dites « lentes » et « aérobies ». Elles interviennent dans les efforts d’intensité faible à moyenne et de longue durée. Elles ont besoin d’oxygène pour fonctionner.
Les fibres de types II: elles sont dites « rapides » et « anaérobies ». Elles interviennent dans les efforts brefs de grande intensité.Concrètement, en endurance ce sont les fibres « lentes » qui sont presqu’exclusivement sollicitées. Inversement, chez les chevaux de courses, ce sont les fibres « rapides » qui travaillent.Le jumping, le dressage, le concours complet ou la randonnée sont des activités durant lesquelles les deux types de fibres musculaires sont sollicitées: les fibres « lentes » en continu et les fibres « rapides » pour les efforts ponctuels (par exemple: à la battue du saut, durant une pirouette au galop, pour franchir une côte abrupte…).Chaque groupe musculaire comporte une proportion variable de ces différentes fibres.La génétique est fortement responsable de la proportion de fibres « rapides » chez le cheval. L’entraînement, lui, n’a qu’une faible influence sur celles-ci mais permet par contre de développer la proportion de fibres « lentes ».Les fibres musculaires éliminent différents déchets métaboliques responsables de la fatigue physiologique: les fibres « lentes » éliminent les radicaux libres et les fibres « rapides », l’acide lactique.Ces déchets sont autant de signaux donnés à l’organisme pour stopper son effort et ont des conséquences empêchant la récupération.Au cours d’un effort, ce sont majoritairement les fibres « lentes » qui sont sollicitées. Les fibres « rapides » n’interviennent que si ces dernières sont trop lentes à réagir ou débordées par l’intensité de l’effort demandé.Donc, plus le nombre de fibres « lentes » est important, moins on court le risque de solliciter les fibres « rapides ». C’est le but de l’entraînement, de la mise en condition physique. 

Pourquoi les radicaux libres et l’acide lactique sont-ils nocifs?

Au niveau musculaire, les radicaux libres et l’acide lactique abîment les parois des cellules musculaires, ce qui conduit aux courbatures et aux raideurs. Au niveau respiratoire, ils s’attaquent aux cellules qui font la jonction entre les alvéoles respiratoires et les petits vaisseaux sanguins et sont donc impliqués dans les hémorragies induites par l’effort (un cheval qui saigne du nez suite à un effort par exemple).

Anticiper les problèmes

Le cheval athlète pour être performant doit être résistant à l’effort et récupérer rapidement sous peine de raideur et d’inconfort les lendemains de compétitions. C’est d’autant plus important pour les concours se déroulant sur plusieurs jours : si le cheval est courbaturé ou s’il souffre de raideurs musculaires suite à une trop grande production d’acide lactique, il ne sera pas en forme le lendemain et ne pourra pas terminer la compétition dans les meilleures conditions.

En plus d’un entraînement adapté, des compléments alimentaires aident le cheval à affronter les efforts intenses et les compétitions plus facilement et plus confortablement.

Bleu-Roy B-Strong:

Son but? Eliminer le plus rapidement possible les radicaux libres responsables des raideurs musculaires.

Comment?
La vitamine E capture ceux-ci au sein de sa structure moléculaire et les rend inactifs.

Le sélénium recycle cette vitamine E chargée de déchets et intervient directement dans leur dégradation. Il est stocké dans les muscles, leur permettant une action encore plus efficace. Dans nos régions, il est aussi primordial d’apporter du sélénium au cheval car nos terres, et donc nos fourrages, en sont carencés.

Les béta-glucans permettent d’améliorer la condition physique du cheval à l’entraînement et en période de compétition. 

Quatre acides aminés essentiels: la lysine, la méthionine, la thréonine et le tryptophane qui favorisent le prise de masse musculaire au cours de l’entraînement.

En résumé:
Le B-Strong stimule la production de fibres «lentes» et limite donc la sollicitation des fibres «rapides» lors de l’effort. Il joue un rôle préventif dans la production d’acide lactique.

Il peut être utilisé:

  • En cure de fond, pour aider au développement musculaire ou pour protéger les muscles lors de l’effort .
  • Ponctuellement, en périodes de compétition ou d’efforts intenses pour améliorer la récupération et diminuer la fatigue globale et les courbatures.
Bleu-Roy B-Boost:

Son but: intervenir sur l’élimination de l’acide lactique.

Comment?
La vitamine C est un anti-oxydant puissant qui va capter les radicaux libres. Les risques de coups de fatigue et de raideurs musculaires sont limités, le cheval récupère plus vite et est plus rapidement disponible en cas de nouvel effort.

Le glucose va faire remonter le taux de sucre dans le sang, servir de signal positif au cerveau qui trouve ainsi l’énergie nécéssaire au cheval pour rapidement s’abreuver et s’alimenter après l’effort. Cela apporte également un coup de fouet supplémentaire pour permettre au cheval de donner le maximum pendant un effort intense.

Le citrate de sodium va combattre les effets néfastes de l’acide lactique, reculer le moment de «sensation de fatigue» et limiter l’apparition des courbatures.

Le magnésium agit au niveau de la jonction entre la cellule nerveuse et le muscle et favorise la relaxation musculaire.

Le conseil Bleu-Roy

Lors des compétitions, nous conseillons de donner deux B-Boost à votre cheval: un avant l’effort et un après. Le premier va couvrir la phase d’apparition des radicaux libres pendant l’effort et le second, la phase d’élimination après celui-ci. On recule ainsi l’apparition de la fatigue et on limite les effets destructeurs des radicaux libres et donc les courbatures.
Bleu-Roy B-Strong et Bleu-Roy B-Boost sont donc tout à fait complémentaires pour le cheval de sport lors de compétitions ou d’efforts intenses.

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